Tout d'abord, je suis allé visiter une forge. Mais puisque je n'avais pas assez
d'informations, je suis allé au chateau de Lahay et la j'ai pu m'informer plus qu'il ne le faut.
La forge :
Technnique artisanale utilisant la chauffe (à l'aide d'un four) et le martelage du métal sur une enclumeen vue de réaliser des fers à cheval, des lames de couteau, de sabres,de poignard etc.
Dans cette forgerie là, ils fabriquaient des rampes d'escalier, des fers à cheval (qu'ils posaient sur les sabots des chevaux), des épées, des objets représentant des animaux etc. C'était très impressionnant des voir les déformations de fers. J'aimais aussi voir quand ils posaient le fer sur le sabot du cheval car il y avait de la fumée partout et le cheval restait tranquillement à sa place comme si il ne sentait rien (ce qui était le cas). Mais l'inconvéniant c'était que comme je l'ai dis auparavant je n'aurais pas eu assez d'informations pour faire un travail complet. Je suis donc allé au chateau de Jehay.
Chateau de Jehay :
Tout d'abord, il faut savoir que le chateau de Jehay est une abbaye plus exactement l'abbaye cistercienne de la Paix-Dieu. La fondation de l'abbaye s'inscrit dans le mouvement mystique féminin qui marqua l'histoire de Liège début du XIIIème siècle. C'est à l'invitation du chevalier Arnould de Corswarem, entre 1239 et 1241, que des moniales cisterciennes provenant du Val Benoît fondèrent un nouveau monastère dans le village hesbignon d'Oleye. Toutefois, cet emplacement ne répondait pas aux critères des Cisterciens pour l'implantation de leurs abbayes. Aussi en 1244, l'abbaye est transférée dans un site de vallée, à la confluence de plusieurs ruisseaux, lieu-dit Grognart. La présence, à cet endroit, d'un moulin nécessaire à la transformation de céréales dont la communauté avait besoin pour subsister, ne fut pas étrangère au choix du site.
Lise Fuentes Valenzuela 3B.
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