Son histoire :
Construit par L. Gaspard et inauguré en 1890, le bâtiment est donc en pleine renaissance. Au début, il était consacré comme « Hospice de vieillesse » et part la suite est devenu un bâtiment a part entière, mais en restant spécialiste dans la revalidation.
En 1944, c’est la 2ème guerre mondiale, et après un bombardement qui détruit la gare de Cornillon, la Croix Rouge accepte d’assurer le transport mais en négligent la destination et l’identité des patients.
Pendant l’après guerre, les infirmeries, sont de plus en plus technologistes. Ouverture des plusieurs services dont : radiologie, dermato, gynéco, . . .
L’hôpital, se produisais lui-même, il avait tout pour survivre, boucherie, boulangerie, salle de nettoyage, . . . et comptai 504 lits, sans compter le département pour les personnes âgées.
En 1952, l’hôpital est alors divisé en 2 sections :
- Une maison de retraite pour vieillards
- Un hôpital pour malades chroniques
En 1987, le bâtiment fut vider de ses patients et sont partis vers d’autres homes.Pendant 15 ans, il restera vide et fut de nombreuse fois, vandalisé.
En nombre 2005, la Wallonie décida de le faire « revire ». C’est alors que commence un énorme chantier couvert de pelleteuses et de grues, car ils vont démolir l’hôpital mais sont obligé de conserver la façade, car la ville de Liège, considère ce site comme un site classé.
Et aujourd’hui :
Depuis 2005, le site est en chantier, son ouverture est prévue pour fin 2012.L’hôpital, sur ses 35 000 mètres carrés pourra offrir 221 lit, 2 jardins, 3 étages, 7 unités de soin. L’hôpital est conçu pour le confort, et l’écologie, par exemple, il n’on pas construis les plafonds contre les fenêtres pour laisser la lumière dans la pièce (une sorte de mezzanine) L’objectif, de pouvoir construire un hôpital moderne et simple est atteint :).
La visite m’a plus dans l’ensemble, et j’ai appris plusieurs chose pendant la journée du patrimoine, c’est à refaire, bien sur :D !
Témoignage :
Hélène Schmitz, une ancienne élève infirmière a fais quelques stages là-bas (à 19 ans). C'est aussi ma mère.
« Une salle commune, comptai environ 40 lits, dix plus qu’aujourd’hui. Et le patient n’avait aucune intimité, il vivait en communauté avec les autre patients. Seule une table de nuit, séparai les malades »
Laura Carapezza 3 B.
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